les contes de Malakath
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 L'escorte d'aventuriers

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divadees
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MessageSujet: L'escorte d'aventuriers   L'escorte d'aventuriers Icon_minitimeSam 8 Mar - 15:51

Voici le premier récit solo du forum, il est situé dans l'univers de warhammer, cela pourrait être une campagne avec des PJ.
Chapitre 1
En cette année 2522, l’empire, nation de Sigmar Heldenhammer est en reconstruction suite à la guerre contre le chaos…Mais se cache dans l’ombre d’autres menaces, plus insidieuses…Et elles n’attendront que le bon moment pour sortir et enfoncer, afin d’achever l’empire, la lame qu’à laissé Archaon, seigneur de la fin des temps.
Loin de savoir se qui se trame, dans la pluie torrentielle qui s’abat sur la grande forêt Ludwig, un homme rustre aux cheveux brun à la taille assez modeste qui lui permettait avec son agilité d’éviter les coups ennemis se trouvait derrière un arbre, caché comme quand il chassait pour son village, son arc bandé. Il se souvint alors son passée avec la ferme mais ses chasses avait un nouveau gibier…il lâcha la corde, la flèche fusa pour arriver dans le torse d’un mutant. L’abjecte créature au troisième bras poussa un bruit de douleur avant de s’effondrer au sol…. Mort. Le sang, l’eau de la pluie et la terre se mêlaient en une boue immonde sur le sol forestier. Sans remords, il encocha une nouvelle flèche.
De son côté Félix combattait face à un autre de ces humains souillés par le mal. Son adversaire, ayant une truffe, était coriace et par deux fois Félix para de justesse. La lame dentelée du mutant fit un moulinet dans le but de s’enfoncer dans la cage thoracique de l’ex-soldat mais le coup fût éviter, c’était à présent au tour de Félix d’attaquer. Son épée se dirigeait vers la côte gauche de son ennemi et arriva à toucher. Un flot de sang gicla et salit la lame qui venait de rentrer dans l’impie. Celui-ci poussa un gémissement en contemplant sa plaie béante…Lorsqu’il tomba au sol, son cœur ne battait plus. Le vainqueur enjamba le monstre, il était à peine âgé de dix-huit étés. Ses cheveux de couleur paille formait des mèches indisciplinées, il mesurait un peu près un mètre soixante-quinze et ses yeux vert émeraude lui donnait un air d’enfant… Mais ses combats et sa dextérité n’était pas des enfantillages. A priori c’était le dernier. Ludwig commença à ramassé les flèches un peu partout et poussa un juron lorsqu’une se brisa car trop enfoncé dans le cadavre hideux d’un siamois :
« Avec la blafarde que l’on va gagner tu pourras en racheter, lui dit Félix.
- Ouais… répondit le chasseur.
- Tu ne sais pas ou est Eline ?
- Sûrement à fouiller les cadavres comme à son habitude ; tiens là voilà. »
Une femme d’une vingtaine d’années venait d’arriver, ses cheveux roux était lissé par la pluie, elle tenait en main une dague finement ouvragée et trois couteaux de lancée pendait à sa ceinture, ses yeux cuivres et son large sourire relevait que la chasse aux objets de valeurs sur les cadavres avaient été bonnes :
« Ranald est avec moi, j’ai trouvé une bonne poignée de cliquet et quelques armes de qualité.
- Depuis qu’on voyage ensemble, tu dépouille tout les cadavres : ca ne t’écœure pas ? Demanda Félix.
- Non, tant que cela m’apporte de l’argent. »
Les trois aventuriers allèrent donc rechercher leurs lunes, récompense pour avoir tué les mutants. Ils rentrèrent donc à Bernheim, petit village où ils se sont reposés. On pouvait apercevoir des pics en bois sortir du sol. Mais ils étaient bien plus dissuasifs que défensifs et une bande de gobelins arriveraient facilement à pénétrer. Voici dans quelle état la tempête du chaos à mis plus d’un village de l’empire… Les deux miliciens qui gardaient l’entrée était trempé jusqu’à l’os et leurs uniformes de mauvaise qualité souillés. Les rues étaient désertes dû au temps. Ils arrivèrent enfin à l’auberge nommé « la défense du sanglier ». Le bourgmestre, un homme à la carrure impressionnante buvait son verre de cervoise quand Ludwig, Eline et Félix entrèrent :
« Vous les avez tués ? demanda l’homme.
- Oui, on a eu ces hérétiques.
- Bien, tenez. »

Il tendit les pièces en argent si rare dans la paysannerie, elles firent un bruit métallique si doux aux oreilles des aventuriers qui se servirent sans attendre ; et ils rejoignirent Dimzad, le nain était attablé avec un autre représentant de sa race. Le mercenaire avait les cheveux noirs, un anneau de métal dans son nez et une hache prête à pourfendre un crâne à n’importe quel moment.
Son compagnon, pour lequel il avait refusé de débusquer et éradiquer les mutés était son frère et lui ressemblait étrangement. Dimzad se retourna vers ses compagnons :
« Alors pas trop dur sans moi, hé hé ?
-Non, on les a eues, répliqua Félix.
-Bon, mon frère Grodil nous a trouvé un nouvel emploi.
-En effet, les nains ont toujours eu de bonnes relations avec les magisters de l’ordre doré, et…
-Des sorciers ! s’exclama Félix.
-Oui, et un ambassadeur et à Karak-Amrik pas très loin d’ici : il vous faut l’accompagner à Altdorf.
-Et en rémunération ? Demanda avec un large sourire Eline.
-Un peu près dix radieuses chacun. »
Un long silence suivit ces mots : dix radeuses, c’était dix pièces que seul les nobles peuvent se vanter d’avoir, c’était vraiment une fortune pour les trois humains qui sortent d’une basse classe sociale. La nuit en avait profité pour tomber sur Bernheim, les aventuriers décidèrent de dépenser leurs lunes en bière, ale, repas, et à payer les services d’un bateleur travaillant à la défense du sanglier pour fêter ce nouveau contrat même si il devrait rester avec un magister.
Le lendemain, la compagnie s’éveilla assez tard à cause du contrecoup de la soirée bien arrosée de la veille. Seul la lune de Ludwig n’as pas été dépensé, cela était dus à sa passivité…Même si il se réjouit aussi de la nouvelle. Après un déjeuner rapide constitué d’une tourte et d’une pinte de bière, nos compagnons s’en allèrent en direction de la forteresse naine. Dimzad et son frère en tête suivis d’Eline et de Félix et comme à son habitude : en retrait se trouvait Ludwig. La marche fut pénible et ce en partie à cause de la pluie. La nuit tombas sur la compagnie qui décida de faire une halte :
-Bien comment on répartie les quarts ? Demanda Grodil.
-Je prendrais le premier, dit son frère.
-Moi celui de minuit, j’aime voir les lunes quand elles sont à leurs apogée.
-On le sait Eline, tu fais toujours comme ca. Bon, moi le dernier et comme d’habitude, Ludwig en a rien à faire : il prendra celui qui reste, alors le quelle des deux quarts prendrait vous maître nain ?
-Je prendrais celui avant minuit et donc Ludwig aura le quarts qui après celui d’Eline. »
Une fois les quarts pris, les aventuriers mangèrent leurs rations, cette pluie était vraiment une plaie et en plus de ne pas pouvoir savourer leurs tourtes chaudes, ils furent réveiller plusieurs fois par les gouttes qui venait comme les persécuter, et ce malgré le couvert qu’apportait les arbres. Le réveil fut pénible mais apporta une bonne nouvelle : la pluie avait cessée. La compagnie repartit sur la route avec la même disposition que la veille.
Soudain…Le feuillage des buissons se mirent à bouger et d’ignobles créatures à la peau verte sortirent, elles étaient équipées d’arme rudimentaires ou volées : deux avaient des arcs courts, les quatre autres d’épées ou de gourdins accompagnés d’un bouclier. Chacun avait endossé une veste de cuir de mauvaise qualité et souvent avait été rafistolé de manières douteuses, les gobelins attaquèrent. Seul Ludwig eu le temps de dégainer son arc, les nains, le soldat et Eline furent pris au dépourvus. Dimzad ne pus donc pas éviter un coup, placé à la tête mais heureusement son casque pris le choc. De leurs coté les autres purent éviter.
Le chasseur, n’ayant pas été surpris, eu le temps de décocher un trait qui se planta dans la cuisse gauche d’un de ces chétifs peaux-vertes. Celui-ci tomba au profit d’Eline qui tira sa dague et acheva l’ignoble créature d’un coup bien placé dans la gorge. Mais ce tir prit son attention et ne vit pas le gobelin qui le chargeait…La masse rouillée vint frapper le torse de Ludwig qui tituba en arrière, le coup avait été en partie absorbé par son armure en cuir rendant le coup non-mortelle. Le gobelin s’apprêtait à achever son ennemi mais l’épée de Félix le décapita. Le corps sans vie tomba au sol et ce après la tête. De leurs côté les nains avait déjà mit hors-combat deux peaux-vertes. Les archers avaient décochés des flèches mais peu arriva à toucher et celles-ci venaient frapper les boucliers. Suite à la mort de leurs alliés les gobelins survivants se mirent à fuir dans les profondeurs de la forêt… Eline ne pus s’empêcher de fouiller les cadavres mais elle ne trouva rien de valeur :
« On ne devrait pas s’éterniser ici, dit Grodil, c’était peut-être les éclaireurs d’une tribu et même si on peut rivaliser avec une dizaine de gobelins, je ne donne pas chère de notre peau face à cents.
-Entendu. »
C’est ainsi que les compagnons partirent avec plus de rythme, et ce, malgré la douleur que ressentait le chasseur…Car un homme mort ne peut plus souffrir. Après de longues heures de marches fastidieuses, la compagnie arriva enfin à Karak-Amrik ou il allait trouver ce sorcier doré à escorter.
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MessageSujet: Re: L'escorte d'aventuriers   L'escorte d'aventuriers Icon_minitimeDim 9 Mar - 0:58

Suite, et ce même si vous n'avez pas lus le début


Chapitre 2
Une massive porte en bois aux couleurs vives se tenait devant le groupe. Celle-ci semblait faire partie de la montagne depuis toujours…aussi indestructible, immense. Les deux nains poussèrent les battants. Un lourd bruit suivi l’ouverture, des colonnes de roche se tenaient fièrement en deux lignes distincts qui formaient une allée, un peu partout, des nains se baladaient, discutaient :
« Bienvenu chez les nôtres ! » Dirent joyeusement les deux nains.
Les humains ne répondirent pas, ils étaient béat devant l’architecture, leurs vues ne permettaient pas de voire le plafond, tellement il était haut, et la salle semblait interminable en longueur. Un nain arriva à leur rencontre, il était un peu plus grand que Dimzad et Grodil, ses cheveux en brosses et marron clair trônait sur sa tête :
« Bonjour Grodil, je présume que c’est Dimzad et ses compagnons aventuriers, je me présente : Skarbin, dit-il.
- Bonjour Skarbin, ça va depuis le temps ?
- Oui, tu sais la routine, hier on a massacré des peaux-verte, d’ailleurs, c’est moi qui est décapité leurs chef … »
Les aventuriers n’écoutaient que de manière distraite, trop occupé à regarder les bas-reliefs sculptés dans le granit, représentant des scènes de combats, contre les orques en autre. Ils suivirent les nains tout en regardant les autres sculptures qui se trouvaient, après une dizaine de minutes de marche, ils rentrèrent dans une salle sur le côté, la porte était aussi creuser dans la roche, mais cette fois conçus pour la hauteur des nains. Ainsi, Ludwig, Félix et Eline durent un peu se baisser.
Une table de marbre se tenait au milieu de la pièce circulaire, y état attablé : un couple de nains et le sorcier… qui s’avéra être une sorcière…Ce qui marquait, c’était ses yeux dorés, situé sur un visage parfait. Les cheveux paille et bouclée tombait sur son cou, ses vêtements indiquait tout de suite son statut de sorcière, la couleur or, argent et améthyste dominaient sur ses habits. Tout de suite Félix la trouva…Non, il ne devait pas, c’était une sorcière, grand-père lui disait toujours qu’ils utilisaient des pouvoirs terrifiants…maléfiques. Si il la trouvait belle, c’était sûrement à cause d’un sort, il ne devait pas céder à la tentation : pense aux dix karls se disait-il. La sorcière sourit au groupe :
« Bonjour, je me nomme Andira, je suis ravie de faire partie de votre groupe d’aventuriers pendant un moment…Cela vous gène si Annie vient ? C’est une halfling qui m’a proposé ces services.
-Bien sûr que non ». Eline venait de répondre, a priori cela ne la dérangeait nullement que Andira soit une sorcière.
Félix s’obligea à avoir une mauvaise impression de l’alchimiste : elle utilise un charme pour avoir ce physique, ce n’est qu’une bourgeoise : elle a une bonne ! Mais il ne pouvait nier son sourire angélique, et ses yeux intenses luisant comme des pépites. Alors qu’il combattait ses pensées, Eline se mit à parler à Andira :
« Finalement, je préfère que tu sois une femme, je me sentais seule entourée par eux, elle désigna le chasseur et le soldat, donc je te présente Ludwig et Félix, moi, elle mit sa main sur sa poitrine, c’est Eline, et je suis également ravie.
-Vous serez plus seul, avec Annie on sera autant de femmes que d’hommes. » Elle sourit en direction du nain, et des deux humains.
Les aventuriers se mirent donc à parler, seul Ludwig et Félix restaient à l’écart, l’un à cause de son caractère, l’autre de ces méfiances dus à son passée dans la paysannerie. Un quarts d’heures plus tard, une halfling arriva dans la pièce par le biais d’un autre corridor que celui emprunté par les aventuriers, ces cheveux châtain et ses yeux verts ressortent de sa silhouette dus au contraste entre ces vêtements, lorsqu’elle arriva, c’est avec deux sacs dans les bras :
« Mes affaires sont prêtes, et à ce que je vois, nos escorteurs sont arrivées.
- Et, bien nous partirons quand vous le souhaitez, la sorcière dit ces mots, la tête en direction d’Eline, Félix et Ludwig ;
- Heu…et bien…Félix qui commençait à répondre, fut surpris, elle était l’employeur et pourtant, elle demandait quand partir, il se demanda si c’était sa gentillesse ou son comportement de sorcier qui rendait Andira si… spécial mais si aimable.
- Demain, à l’aube, Dimzad venait de compléter la phrase de son compagnon désorienté, je tiens à me ressourcer un peu parmi les miens. »
Il en fut donc ainsi, et, le reste de la journée fut libre pour la compagnie : Dimzad fit comme il avait dit, il savoura ces instants avec son frère et les autres nains en buvant de la bière naine de Bugmann lui-même, Eline, Andira et Annie restaient dans les appartements que les nains avaient mis à disposition entre elles. Les deux dernier firent le tour de la citée en discutant, Félix fit part de ces méfiances, le chasseur répondit que même si les sorciers étaient puissants, ils peuvent être du bon côté… malgré tous les arguments que pouvait sortir Ludwig, cela ne convaincu qu’à moitié le soldat.
Le repas du soir regroupa la compagnie, et, même si le mercenaire nain saoul ne resta pas longtemps, il fut agréable et conviviale, tous riaient et l’atmosphère joviale semblait même effacer les méfiances de Félix. Le lendemain, à l’aube tout le monde étaient prêt, et Dimzad remis des chopes d’hier chanta un air bien connus des aventuriers :
« Je vois au loin, une caravane
Mais oui se sont les aventuriers
Je vois au loin une caravane
Ils viennent pour nous sauver

Aucuns orques, gobelins et mutants
Ne peut les démoraliser
Aucuns zombies et loups terrifiants
Ne pourront les blesser

Ils n’ont aucunes attaches
Mais leurs haches
Défendent la mère et l’orphelin
Ils n’ont peur de rien

Aucuns orques, gobelins et mutants
Ne peut les démoraliser
Aucuns zombies et loups terrifiants
Ne pourront les blesser

Leurs passée est souvent dur
Mais leur présent est épique
Ils sont héroïques
Leurs chemins n’est jamais sûr.

Aucuns orques, gobelins et mutants
Ne peut les démoraliser
Aucuns zombies et loups terrifiants
Ne pourront les blesser

Leurs courage n’as aucune limite
Et ils combattent tous les envouteurs
Triomphe de leurs sombres rites
De l’aventure, il est l’heure

Aucuns orques, gobelins et mutants
Ne peut les démoraliser
Aucuns zombies et loups terrifiants
Ne pourront les blesser

Ils se contentent de paillasses
Ces vagabonds aux regards las
Sont de vrais héros
Prêt à traverser les plus dangereux cours d’eau

Aucuns orques, gobelins et mutants
Ne peut les démoraliser
Aucuns zombies et loups terrifiants
Ne pourront les blesser

Aucuns orques, gobelins et mutants
Ne peut les démoraliser
Aucuns zombies et loups terrifiants
Ne pourront les blesser


Ce sont les aventuriers
Qui viennent nous sauver »
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MessageSujet: Re: L'escorte d'aventuriers   L'escorte d'aventuriers Icon_minitimeMar 11 Mar - 19:50

Il est super bien ton solo je suis presser de lire la suite !!!

PS: ta du bien te faire chier pour ecrire tous ça
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MessageSujet: Re: L'escorte d'aventuriers   L'escorte d'aventuriers Icon_minitimeMar 11 Mar - 20:13

Chapitre 3


Le début de voyage fut calme et paisible, aucunes rencontres fâcheuses se produisirent, et les membres du groupe commencèrent à se connaitre, Félix oublia les méfiances de paysans qu’il a hérité et redevint aussi sociable que d’habitude, une dizaine de jours avaient déjà passé, la compagnie arrivait vers le petit village lorsqu’ils virent un véritable massacre…
Une diligence détruite, étalé de tout son long en travers du chemin, les cadavres humains étendus un peu partout formait une affreuse vision : chaque corps semblait encore gémir, leurs expressions, celle de leurs morts restaient sur leurs visages meurtris : c’était une grande peur… Les cadavres fut transpercé plusieurs fois chacun, et souvent un coup suffisait : c’est comme si l’assassin avait pris un malin plaisir à écorcher ces humains. Un écusson sur le reste de la carriole révéla qu’il s’agissait d’un convoi marchand :
« Il y en a un qui semble encore en vie ! Eline venait de le crier par la surprise, l’homme avait la quarantaine, ses habits maculés de sang lui collaient à la peau.
-Je vais m’en occuper, dit l’halfling.
-Vous vous y connaissez en médecine ? Je croyais que vous étiez la domestique d’Andira. Demanda Félix.
- Je suis à son service en tant que médecin, elle se blesse souvent, elle arracha avec ses dents une bandelette et se dirigea vers le rescapé, je ais atténuer votre douleur…
- Arrête…Je…v…vais…mou…mourir, je le…sais.
- Heu…Annie regarda au sol, il avait vrai.
- Et c’est qui…ou quoi qui vous a fait cela ?
- Un homme, il se tordit de douleur, avec…un…cap…capuchon, et une da…dague bizarre, il cria de douleur, il avait…un…un…un. Les yeux du pauvre homme se fermèrent, son cœur s’arrêta.
-On ne peut laisser ce crime impuni ! S’exclama Andira.
-Non, mais on a que comme indice, qu’il a une dague, un capuchon, qu’il a tué tout ses voyageurs seul et qu’il avait…un…un…truc dont il nous a pas plus nous en parler. Dit Dimzad.
- Vous avez raison maître nain, repartons. »
Eline allait s’exprimer quand Ludwig l’arrêta d’un coup dans le pied :
« Je pense que cela va choquer la sorcière si tu fouilles les cadavres.
- Mais il y a peut-être une fortune et ces braves ont besoin d’être enterrés.
- Elle a raison, Andira s’était approché, ils leurs faut des funérailles. Et, on va devoir essayer de chercher des lunes dans leurs carrioles, elle sourit, et si cela nous enrichi c’est encore mieux. »
C’est ainsi que tout le groupe se mit à chercher, ils trouvèrent juste assez de lunes pour payer le dernier voyage des marchands, et d’autres cliquets qui complétèrent les bourses des compagnons, pour les armes, ils décidèrent de les planter à coté des tombes…Pour symboliser leurs courages ; pour creuser et chanter les litanies dédié à Morr, il fallut trois heures, et lorsqu’ils repartirent, la nuit tombait.
Comme le village le plus proche se trouvait à une milles, la compagnie décida de faire un peu de route de nuit, et ils arrivèrent à neuve heures au village d’Orheim, celui-ci était assez fortifié, mais face à une horde de mutants, la porte céderait, et facilement. Les aventuriers frappèrent sur la porte, un loquet s’ouvrit laissant apparaître le visage d’un milicien, après un court entretien, la compagnie rentra, et se dirigèrent vers l’auberge de la Chope Renversée, car le milicien leurs avaient dit qu’en ce moment, une représentation de bateleurs avait lieu, la taverne bondé et joviale se tenait devant eux, une scène de circonstance sur laquelle un jongleur de couteaux montrait ses talents prenait déjà le quart de la place. La compagnie choisit une table libre, en réalité la seule table libre. Ils n’eurent pas le temps de s’installer qu’une servante arriva et posa l’habituelle question : Qu’est ce que je vous sers ? C’est ainsi qu’une tourte et une chope de la bière locale fut servie à tous. De leurs côté les saltimbanques n’étaient pas en reste : acrobate, lutteur, cracheur de feu, ménestrel, jongleurs avaient déjà passé. A chaque représentation, Eline narrait des défauts comme s’il avait pris plus d’huile et du souffle, le jet de feu aurait pus atteindre deux mètres. Et pourtant pour le reste de la compagnie, les représentations semblaient parfaites, aucun ne connaissaient le passé de la jeune femme rousse mais, on aurait dis qu’elle avait connus touts les métiers. C’est un peu près vers deux heures que les bateleurs partirent entraînant la foule avec eux, les aventuriers prirent deux chambres de trois lits, avec le repas ils durent laisser trois cliquets chacun.
Le lendemain fut difficile, sauf pour le nain qui a acquis une certaine résistance aux boissons alcoolisée, mais lors du petit-déjeuner, ils entendirent quelques messes basses, a priori un meurtre aurait était commis…La compagnie décida à enquêter sur ce méfait, et tout d’abord ils décidèrent de recueillir des informations et posèrent des questions à la table :
« Désoler, mais j’ai entendus ce que vous disiez, il y aurait eu un meurtre ?
- Un triple-meurtre : les trois miliciens de garde c’te nuit…Que Morr les protègent…Le groupe se souvint du milicien si accueillant de la veille. Mais il parait que dès que la troupe de bateleurs arrive quelque part, il y a un meurtre…
- Heu…Les cadavres ne semblent pas mutilés par une personne qui aurait continué de les écorcher même après leurs morts ?
- Hum…Et bien si, comment le savez vous ?
- Le criminel à déjà sévit, on a retrouvé un convoi détruit en venant ici.
- Comment ? Un convoi marchand ? Misère de misère, les provisions du temple…Bien on va devoir faire des dons pour les prêtres sigmarites… »
Il n’y avait aucun doute…le meurtrier des gardes, était celui de la carriole, ces crimes ne pouvaient pas rester impunis, de plus Vervena, déesse de la justice, les récompenseraient. La compagnie décida, d’aller voir les bateleurs…puisque pour les paysans se seraient les tueurs. Ils les cherchèrent, et virent une carriole partir, pas de doute, et ils les arrêtèrent :
« On aurait à vous poser des questions concernant…
- Les morts, c’est cela ? Coupa un bateleur, on à l’impression que Morr nous suit… Alors au lieu de rester on préfère fuir…Le ménestrel semblait vraiment sincère, ces yeux mouillés commencèrent à évacuer une larme.
- Et,…On peut vus accompagner ? Demanda Andira.
- Faut demander au patron, Lucas, patron ! Il commença a appelé son supérieur hiérarchique.
- Qui as t’il, Ernst ?
- Ces aventuriers voudraient nous rejoindre un moment…
- Est-ce qui pourront être utiles à nos spectacles ?
- Oui, la réponse venait d’Eline, mes compagnons pour le décor, annoncer votre venus, moi dans le spectacle : je sais jongler jusqu’à onze couteaux, cracher le feu, connait quelques prises de lutte et les saltos n’ont plus de secrets pour moi.
- C’est d’accord »
Lucas mesurait une taille impressionnante, ces cheveux bruns en brosses et mal coiffé le rendaient farouche, sur son visage, une longue balafre s’étirait…Il donnait une impression de brute épaisse : il devait être lutteur…Le chemin ne se passe pas trop mal, jusqu’à la rencontre avec des miliciens :
« Vous êtes des bateleurs ?
-Oui, pourquoi cette question ?
-Vous êtes en état d’arrestation, meurtriers ! »
Les bateleurs n’eurent pas le temps de protester que Lucas sortit sa dague, effilée, et rouge sang, elle semblait aussi tranchante qu’une épée…Il fonça sur les gardes, mais fut retenus à la dernière minute par les membres de la carriole…C’est ainsi que l’arrestation eu lieu, le convoie revenait au village qu’il avait quitté. Une nuit, Lucas réveilla tout le groupe, un rictus aux lèvres :
« Je les ai tué, on peut fuir.
- Tu les as tué, mais pourquoi ? Là on nous croira vraiment coupable !
- Et, pis, vous êtes de leurs côté ? C’est ca, hein ! Traître ! »
Il fonça sur les bateleurs, et au dernier moment, il s’arrêta comme bloquer par une force invisible, il se mit soudainement à pleurer, et dit d’une voix douce :
« Aidez-moi, mes amis. La dague me rend fou, j’ai besoin de tuer. En ce moment je lutte, s’il vous plaît, achevez moi ! »
La requête semblait si…si…Mais, soudain, il se mit à se tordre de douleur dû à son combat intérieur, la lame d’une épée se planta dans son corps, il émit alors un merci qui venait du cœur.
Après ce qui s’était produit, la compagnie de bateleurs décida de se séparer, et nos aventuriers continuèrent la route…La dague en sûreté, dans une boîte protégé par des maléfices d’Andira…
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MessageSujet: Re: L'escorte d'aventuriers   L'escorte d'aventuriers Icon_minitimeDim 16 Mar - 0:57

4eme et dernier chapitre: fait rapidement (la flemme) et surtout beaucoup moins long...
Chapitre 4 :

Altdorf s’approchait, la routine s’était installé dans le groupe depuis la fin de l’incident avec les bateleurs, et un mois après, un peu près, ils arrivèrent à Nuln, de là il devraient prendre le fleuve pour arriver à la capitale de l’empire :
« Bon, on vas au quais, moi et Félix, dit Dimzad.
-Bien, vous nous retrouvez à l’auberge du taureau en furie.
- Entendu »
Le groupe se scinda alors en deux, le soldat et le nain chargés de trouver un navire, tandis que les autres devaient régler l’auberge. Au port, un marin moustachu, en train de remplir une péniche attira l’attention des aventuriers :
« Vous savez, quand le prochain bateau menant à Altdorf sera là ?
- Ho, là, savez avec l’chaos et tout ça, bah y a pus de bateaux quoi, l’prochain sera dans une s’maine, v’là quoi.
- Merci du renseignement. »
De retour au taureau en furie, le mercenaire nain et son compagnon dirent la nouvelle aux autres, celle-ci contraignait le groupe entier : c’était une semaine à payer l’auberge… La soirée fut donc peu festive, et aucuns litiges fut à noter, à part qu’une des servantes fricotaient vers le groupe mais arrêta à cause du manque de succès.
Le lendemain matin se passa normalement…quand Andira ouvrit sa besace, quelque chose manquaient : la dague ! Elle avertit tout les autres aventuriers, ils furent tous paniqués : la dague rendait fou les personnes la touchant, et un garçon pouvait devenir facilement un meurtrier ! Aucune trace à l’auberge, ni sur le chemin urbain pris pour y venir, et la journée qui fut consacré à la recherche de l’arme impie s’avéra infructueuse…Mais ils trouvèrent un objet : un pendentif stylisé, formant un cercle sur le quelle fut rattaché une fourche spécial, aucun purent dire de quoi il s’agissait, tout du moins pas avant la soirée…Lors du dîner à la taverne, la servante de la veille semblait portait le même bijou : si elle était si proche du groupe la veille c’était pour leurs dérober la dague! Ils attendirent la fin du service et ils la suivirent dans le dédale de rues que formait Nuln, dans une petite ruelle, ils la coincèrent … Elle sortit la dague :
« Vous ne m’aurez pas, Shornaal me protège !! »
Un tentacule sortit de son omoplate gauche : une hérétique, le combat commença. Andira lança une incantation, qui fit alourdir le poids de la dague, surprise par le sort, elle ne put empêcher la hache naine lui trancher la mâchoire.
Les jours suivant furent plus prudent, sauf pour Félix et Andira, un soir dans le couloir de l’auberge :
« Dans une dizaine de jours on pourra plus se voir, et j’en suis…navré » Commença le soldat… Andira le serra contre lui et l’embrassa…
Le contrat fut finit, mais les aventuriers restèrent ensembles, d’ailleurs une année après Andira était enceinte.
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